Selon ce que prétend Darwin, l'homme d'aujourd'hui descendrait de créatures qui ressembleraient à des singes. Pendant ce prétendu processus évolutif, qui aurait débuté il y a 4 à 5 millions d'années, des "formes transitionnelles" entre l'homme actuel et ses ancêtres ont dû exister. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" élémentaires sont établies :
1- Australopithèque (toutes les formes appartenant au genre australopithèque)
2- Homo habilis
3- Homo erectus
4- Homo sapiens
Selon les évolutionnistes, les prétendus ancêtres simiens de l'homme appartiennent au genre australopithèque, signifiant "singe du Sud".
Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine sous l'appellation "Homo" c'est-à-dire "homme". Selon ce que prétendent les évolutionnistes, les êtres vivants de la série Homo sont plus développés que l'australopithèque et pas très différents de l'homme de nos jours. Celui-ci, en l'occurrence l'Homo sapiens, est supposé s'être développé lors de la dernière étape de l'évolution de cette espèce.
Les évolutionnistes prétendent que même si les australopithèques ont l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains et non pas comme les singes.
Le fait que les australopithèques "marchaient debout" comme le prétendent les évolutionnistes est en réalité une opinion soutenue depuis des décennies par les paléoanthropologues tels Richard Leakey et Donald C. Johanson.
Toutefois, plusieurs scientifiques ont mené des recherches sur les structures squelettiques des australopithèques et ont réfuté cet argument. Des recherches poussées effectuées sur des spécimens d'australopithèques par deux anatomistes anglais et américain de renommée mondiale, en l'occurrence Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont prouvé que ces créatures ne marchaient pas debout à la manière humaine.
Après avoir étudié les os de ces fossiles pendant quinze ans grâce au financement accordé par le gouvernement britannique, Lord Zuckerman assisté d'une équipe de cinq spécialistes est arrivé à la conclusion suivante : les australopithèques n'étaient qu'un genre ordinaire de singes et n'étaient absolument pas des bipèdes, malgré le fait que Zuckerman est lui-même un évolutionniste. De plus, Charles E. Oxnard, un autre évolutionniste connu pour les recherches qu'il a menées sur la question, a également établi la relation entre le squelette des australopithèques et des orangs-outans de nos jours.
Bref, les australopithèques n'ont aucun lien avec les humains et ne sont qu'une espèce de singes éteinte. Cependant, tous les manuels scientifiques, maintiennent leur position comme étape de l’évolution Humaine.
Déclenchée, en 1924 par la découverte du "Taung Skull" par Raymond Dart, la course aux ossements en Afrique fut très publicisée. L’australopithèque fut très rapidement intégré à l’arbre généalogique de l’homme.
Le plus célèbre de ces fossiles porte le nom de Lucy. Lucy n’est pas complète. Sans les pieds, il est difficile de conclure si elle se déplaçait debout. En s’appuyant sur un ossement de genou trouvé à plus de 3 km d’où Lucy fut extraite, Johanson prétendit qu’elle marchait debout. L’analyse du reste du fossile démontre que Lucy serait en fait une variété de singe.
L’absence du crâne et de d’autres membres, limite grandement les conclusions voulant qu’elle soit un de nos proches cousins. La fameuse Lucy n’est autre qu’un australopithèque.
Le choix
Il y a 11 mois
2 commentaires:
Adhya 7ya khalti lucie 3andi ssnine Allah anlouaje 3aleha . Aya al 7amdel'ALLAH ki 9ao7a . Brabbi ki t'jibouhelna ma tensaouch rokbet'ha .
Voici ma réponse:
Evolutionisme ou créationisme????
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