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Détestable,
Du vide maudit ; tu te moques et tu me nargues
Tu me prends pour un impuissant et tu te targues
Les mots me trahissent, ils ne veulent plus couler
Mon stylo ingrat, ton sourd complice reste muet
Contre les pensées frigides de ma cervelle déflorée
Page blanche vierge, tu désires rester immaculée
J'essaie,
De te caresser et de méditer avec cohésion dévolue
Absolument rien, mais seulement un silence absolu
Je prétends,
Écrire des mots sans aucun rythme sans gout
J’implore, Polymnie ma muse qui m’engoue
Elle me persuade de me laisser aller
Un ordre sincère, je n'ose pas refouler
De mon âme au stylo, vers ta virginité
Je défonce ton hymen qui te protégeait
Jouissance,
Avec tous les soins et la douceur de mes pensées
J'écris du fond du cœur et mon inspiration renait
Vaincue,
Un mot écrit et bientôt par un autre suivi
La fécondité de l’esprit engendre la vie
Un message plaintif d'un amour en deuil
Revit, coule et s’impose sur ma feuille
Un paragraphe se révèle, suivi par une page
Mon œuvre évolue à travers ses passages
Vers les chapitres d'un conte inachevé
D'un amour perdu, et par la suite trouvé
Le capitalisme est-il mauvais pour la santé ?
Il y a 7 mois
1 commentaire:
"Chadharat" ou pépites d'or , vient de voir le jour!
comment te le remettre ??? "dedicacé" bien sûr!
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