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Je ne me tais pas, je crache tes quatre vérités, tu es bel et bien laide
Tant d'obscurité et de la haine à l'intérieur de tout ce que tu possèdes
Chaque fois je dévisage tes yeux, tu ressembles à un diable déguisé
Tout ce que je vois en toi mensonges, irréalité et tes griffes aiguisées
Laide de plusieurs façons, des formes et des dimensions à décevoir
Il n’est plus nécessaire de te regarder dans un miroir pour le savoir
Tu n’as pas besoin de te toucher pour le sentir, ton esthétique avare
Tu fais partie de la nature et la nature à parfois des anomalies rares
Et pourtant, une fois je t’ai aimée sans percevoir ta disgrâce absolue
Je te voyais miss, m’en foutais de tes jambes rembourrées, détendues
J’adorais tes rotondités exagérées et tes seins démesurés et mamelus
Ton grand cœur, le charme en toi et l’amour celaient ta beauté tordue
Aujourd’hui,
Le peu de beau dans tes manières sont devenus répulsifs, ils ricochent
Les sourires sournois et abjects qui se mutent en affreux rires cloches
Trou noir profond de méchanceté et pas de fond pour arrêter ta haine
Tu sèmes des vents sévères de colère et regards froids qui me drainent
Et encore,
Antipathie intense et rancune sans aucunes raisons,
Mépris, pour mes douleurs et maux, criard, flagrant,
Indifférence amère envers mes grossiers sentiments
Tu te vomis après que mon cœur ait subit ta digestion
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Le capitalisme est-il mauvais pour la santé ?
Il y a 7 mois
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