jeudi 11 février 2010

L'Amalgame des Sens

Longue absence … très longue même,
Tu étais à des milliers de kilomètres de mes baisers,
Mais en permanence dans mes pensées ;
« Oui, je le savais »
Allégresse pour t’avoir retrouvée ce soir.
Te murmurer ces mots que tu aimes entendre,
« Envie de tout de toi ».

Profond désir intense et audacieux,
Faim étrange pour ta bouche … Laisse-moi
Satisfaire mon besoin irrésistible pour tes lèvres.
Soif insatiable de toi … l’extase euphorique,
Exaltation des corps et enivrement des sens.
Les yeux qui se cherchent, se regardent fixement.
Perdre l’équilibre et entrer en collision,
Émotions qui se mélangent comme une expérience de chimie,
Passion qui brûle comme mille feux,
La passion chauffée entame l’ébullition,
Tout fuse et rien je ne te refuse.
100°C, Le point du non-retour. Tout s’évapore.
Normal, pour des corps avides, ouverts et suppliants.
Banal, cela confirme les lois de la physique
Ordinaire, ce n’est qu’un chapitre
des sciences de la biologie humaine.

Je suis tendre et affectueux.
Brut, Cru, Nu.
Je te regarde dans les yeux,
Je te tiens par les cheveux,
Délicatement je te caresse le visage,
Et j’embrasse tes yeux ...
Je te tiens fermement entre mes bras,
Tu te bats, tu te relâches.
Tu es moite, humide, avide, douce, sucrée.
Je succombe, tu incombes.
Légers touchers prémédités,
Poitrine sur poitrine …
Mes mains sur ta poitrine …
Ma bouche sur ta poitrine …
Et tu miaules de plaisir.

Tes lèvres se pincent et se tendent,
Mes lèvres glissent à travers tes courbes,
Baisers soyeux sur ta peau satinée … Ivresse.
Sensibilité au souffle chaud.
Frémir, gémir … émotions affranchies,
Chaleur intolérable et le parfum de ta sueur,
Ma sueur inonde ton corps,
Tu te noies, tu me respires, tu revis,
Les yeux fermés et nos mouvements incontrôlés.

Je suis cruel et vicieux,
Instincts primitifs d’un humain.
Tu es finalement domptée,
Et j'explore l’intérieur de ton sanctuaire.
Je crois que je suis au Paradis,
Je te tire pour me rejoindre par mes baisers d’enfer,
De tes lobes à tes mollets ...
Tu ris, tu supplies, tu me serres
Est-ce intolérable ou irrésistible ? que faire ?
Continuer ! … Fou rire

Fureur,
Nous … sentir, saisir, empoigner et s’agripper,
Nous … frissonner, trembler et vibrer,
Moi … lécher, goûter, boire et savourer,
Toi … solliciter, prier, crier et encore implorer,
Nous deux, surfer sur les vagues du plaisir.
Découvrir toutes tes fractions obscures,
Et créer en toi de nouvelles zones érogènes,
Des sensations extrêmes,
Surpassant toute ta raison,
Anéantissant ta supposée résistance,
Tu es soumise, suggestive.

X
X
X CENSURE
X
X

Agonie de la satisfaction.
Corps entrelacés et enivrés, libérés.
Deux êtres fondus, confondus.
Je chuchote contre tes lèvres,
Doucement « je t’aime, je te … »
« Encore !!! »
« Violer mes pensées ? »
« Oui »
Toujours, jamais satisfaite,
Mais parfaite

X
X
X re-CENSURE
X
X

4 commentaires:

Téméraire a dit…

@Nawras:
:) C'est déjà censuré :)

'Tsuki a dit…

Un texte qui m'a donné le frisson... J'adore!

Mayday a dit…

La beauté des mots d'une allégorie peut donner aux passages les plus crus une douceur inouïe avec un arrière gout corsé qui ne fait qu'amplifier le délicieux tressaillement procuré par la lecture ...
J'ose donc espérer retrouver ces passages censurés savoureusement décris dans un prochain billet :)
Bonne continuation ^^

Téméraire a dit…

@Mayday:
Bienvenue dans mon jardin ... le censuré est en train de bouillir et il finira par jaillir :)

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