Mais cache-moi ce sein qui m’accuse !!!
De ne pas le satisfaire ; oh quel traîtrise !!!
Toi qui m’étais une belle prise ;
Rond, ferme au milieu duquel est assise
Une fraise, ou une cerise,
Amnésique !!!, à ma surprise
Il oublie vite ma maîtrise
De monter avec art sur le mont de Vénus
De m’accrocher à sa surface lisse
Alors qu’il réclame encore que je le suce
Mais cache-moi ce sein qui me tente !!!
Avec son auréole fuchsia et latente
Sein satin avec une blancheur éclatante
Je ne peux plus être en "mode Attente"
Je te lèche avec ma langue ardente
Mais cache-moi ce sein qui ose !!!
Qui sort impudique de sa maison close
Qui rend jaloux toutes les belles roses
Et qui est plus gracieux que tout autre chose
Je n’en peux plus …. Je prends ma dose
Mais cache-moi ce sein qui me fait souffrir !!!
Sur lequel s'élève mollement un téton bien dur
Et dont la résurrection me couvre de désir
Je prends ma revanche avec grand plaisir
A travers ta douleur, tes cris et tes soupirs
Le capitalisme est-il mauvais pour la santé ?
Il y a 7 mois
4 commentaires:
tres bo
Magnifique tableau!
Marhaba bik ya Téméraire!
Très beau poème et magnifique sein.
salut POM' POM'! Taras Boulba nous revient en force...il ne sait plus à quel saint se vouer !!!
Il me semble que "le melon de Nefta" lui monte au nez!!!très doux au toucher, au goût très sucré :)
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